À la suite du cyclone tropical Ana, qui a tué plus de 80 personnes en Afrique australe, les équipes d’Ipas au Malawi, au Mozambique et en Zambie préparent une réponse coordonnée pour s’assurer que les soins de santé reproductive, y compris l’accès aux soins post-abortum et à la contraception, restent disponibles pour les femmes et les jeunes filles touchées par la tempête.
Le travail dans les communautés est important ! Résultats obtenus auprès de clientes post-abortum en Zambie.
Cette note de recherche de deux pages examine les résultats des entretiens avec les clientes menés en 2014 auprès de 616 femmes zambiennes qui ont demandé une interruption de grossesse légale et sans danger. Les entretiens ont permis d’explorer les questions de qualité, de prestation de services et de diffusion de l’information telles qu’elles sont perçues par les femmes elles-mêmes – une perspective souvent négligée dans le domaine de la santé génésique.
Signes de progrès dans la « réalité compliquée » de l’avortement en Zambie
L’avortement est légal en Zambie, mais comme le soulignent les auteurs d’une nouvelle étude, « la réalité est bien plus compliquée ». Très peu de femmes savent qu’elles ont le droit d’avorter ou savent où s’adresser pour obtenir ces soins. Les avortements non médicalisés ont causé des décès inutiles en Zambie, même chez les femmes qui ont le droit d’avorter légalement et en toute sécurité.
Un partenariat de recherche vise à améliorer l’accès des jeunes à l’avortement et à la contraception dans trois pays africains
Le Medical Research Council du Royaume-Uni a annoncé qu’il financerait un partenariat de recherche de trois ans visant à explorer les moyens d’améliorer l’accès des adolescents à la contraception et à l’avortement sans risque au Malawi, en Zambie et en Éthiopie.